jeudi 16 décembre 2010

Woodstock


Je vais vous présenter Woodstock en quatre séries d'article . Pour comprendre ce qui s'est passé à Woodstock il faut comprendre les évènements qui se sont déroulés avant 1969.

Le festival de Woodstock en 1969 devait être un simple festival de rock dans le but de faire la promotion d’un nouveau label. Ce festival était prévu pour maximum 50 000 spectateurs mais par surprise le festival a accueilli plus de 450 000 personnes afin de manifester contre la guerre du Viêtnam et contre la guerre en général.



L’évènement Woodstock originel a probablement été la seule protestation qui n’a pas eu recours à la violence et c’est ce qui a rendu ce festival unique. Sans avoir prévu une quelconque manifestation de quelle que sorte que ce soit, 450 000 personnes, de tous âges se sont rendus à Bethel dans le Nord de l’état de New-York afin de s’unir tous ensemble contre une guerre qui les touchait tous. L’objectif de ce festival n’était, au départ, donc pas de manifester contre la guerre.
L’accumulation des évènements des années ’60 a donné lieu à ce festival, ça ne s’est pas passé tout seul. Il y a eu des évènements essentiellement politiques, artistiques, sociaux, etc.

Pourquoi le nom Woodstock ?!
Woodstock est donc une petite ville dans le nord de l’état de New-York près De Bethel (là où a réellement eu lieu le festival). Les organisateurs ont appelé le festival de Woodstock espérant attirer les fans de Bob Dylan car il s’était installé dans cette ville quelque temps avant tous les évènements.

Les différents mouvements qui ont provoqué Woodstock
1. Le mouvement Yippie

On associe généralement le festival de Woodstock avec les hippies. Mais les hippies ne sont pas vraiment des personnes très actives, ils aiment bien rester posés dans leurs coins et manifester contre les injustices du monde par la pensée. Mais ceux que l’on peut vraiment associer avec le festival est le mouvement Yippie.
Yippie est une organisation fondée par Abbie Hoffman, Jerry Rubin et d’autres artistes politisés de l’East Village. Son nom d’origine est le Youth International Party. Ce mouvement rassemble plusieurs mouvements : celui des étudiants et des hippies. Abbie Hoffman est un peu celui qui sans vraiment le savoir à provoquée le festival de Woodstock.




 





Woodstock c’est surtout le mouvement hippie. Le mouvement hippie qu’est ce que sait ?
 le mouvement est né dans les années soixante aux États-Unis, il correspond à un style de vie qui s’oppose à la culture et aux structures de l’Amérique capitaliste. Le mot hippie est apparu dans les environs de 1965, ce mot désigne un jeune homme ou une jeune femme du milieu de l’adolescence à l’approche de la trentaine. Les hippies se qualifient plutôt de « Freaks » et parfois de « heads » c’est-à-dire de camés par allusion aux drogues qu’ils prenaient durant les années soixante. Les hippies n’ont rien d’un parti ni d’un mouvement politique ; toute idée de structure, de dogme ou de hiérarchie est totalement opposée à ce que recouvre le terme « hippies » qui renvoie plutôt à une attitude, mieux, à un style de vie, à une manière de voir le monde.


Les hippies refusent la société américaine dominante de l’époque, avec sa valorisation matérialiste, de la concurrence, de la croyance en la primauté de la vie privée sur la vie publique, plus simplement   tout ce qui constitue pour la majorité des Américains et du monde : « The Americain Way of life »
En 1967, les hippies font officiellement partie de la scène nationale américaine. C’est cet été-là que se produira aussi « L’été de l’amour ».


 Durant l’été de 1967,le festival international de musique pop de Monterey a eu lieu .Il  fut orgnisée par John Phillips chanteur , par le producteur Alan Pariser et par le publicitaire Derek Taylor .Plus de 200 000 personnes ont participés a ce festival.Le Festival de Monterey a été la premiére manifestation musicale a incarner les  valeur et les idées de la contreculture americaine naissante ( Anti Guerre du Vietnam , Anti Capitaliste et favorable a l’esprit et la paix comunnaitaire) .C’est là que de nombreux groupes et chanteurs furent découvert : Jimi Hendrix, The Who, Janis Joplin…

Suite à cet été festif, le 6 octobre 1967, ceux qui restaient dans le quartier ont joué une parodie de funérailles, la cérémonie de « la mort du Hippie », pour symboliser l’épuisement de l’évènement. Le mouvement n’est pas mort, mais commence cependant à décliner. Il y aura encore Woodstock en 1969 et le concert des Rolling Stones en Californie, où un jeune noir est battu à mort par les jeunes Hell’s Angels, le gang de motards engagé par les Stones pour assurer la sécurité du concert. C’est la fin du mouvement hippie.








Woodstock. C’était il y a 40 ans. [Part 3]

La politique durant l’époque avant Woodstock :
Je pense que pour comprendre les révoltes de ces jeunes il faut connaitre le contexte politique durant cette période.

1. John F. Kennedy
Vous le connaissez tous, du moins de nom et à cause de son assassinat. Les images qui ont bouleversé l’Amérique sont encore d’actualité aujourd’hui.
La politique de Kennedy séduit beaucoup les Américains, une politique qui sera appelée « Nouvelle Frontière ». Cette politique prévoit d’envoyer l’homme sur la lune, d’avoir une égalité entre noirs et blancs, de relancer l’économie, d’arrêter l’expansion communiste dans le monde et enfin de créer une entente avec l’URSS.
Lorsque Kennedy gagna les élections de 1960, il prononça un discours qui marquera le monde entier



« 
Vous qui, comme moi, êtes Américains, ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. Vous qui, comme moi, êtes citoyens du monde, ne vous demandez pas ce que les États-Unis peuvent faire pour le monde, mais demandez vous ce que vous pouvez faire pour le monde. »
Le 22 novembre 1963, à 12h30 exactement lors d’un cortège, John Fitzgerald Kennedy est assassiné. Cet assassinat reste toujours un mystère. John Kennedy a séduit toute une génération par ses idées ainsi que par son espoir de construire un monde meilleur en combattant la pauvreté et le racisme. Il marqua les années soixante et encore aujourd’hui.

2. Robert Kennedy
Ce Kennedy-ci est moins connu alors qu’il a beaucoup marqué la fin des années ’60. Il aura mené de nombreuses campagnes pour aider les pauvres, la classe ouvrière et autres. Il deviendra sénateur de New-York en ’64. En 1968, Robert Francis Kennedy est candidat pour les prochaines élections présidentielles en se présentant aux primaires du Parti Démocrate. Il fait partie des candidats qui dénoncent les atrocités de la guerre du Vietnam ainsi que l’inégalité.
Robert Kennedy remportera les élections primaires de Californie, mais le soir même de sa victoire, il est assassiné par un Palestinien car le jeune candidat avait apporté son soutien à Israël dans la guerre des Six Jours en juin 1967.
Les frères Kennedy étaient pour cette génération leurs derniers espoirs. Deux jeunes politiciens rêvant d’un monde meilleur. Leur optimisme donnait de l’espoir aux jeunes américains des années ‘60. Cet optimisme démocrate s’est effondré lorsque Robert Kennedy fut assassiné.

La guerre du Viêt-Nam:
La guerre du Viêt-Nam est la guerre ayant opposé entre 1957 et 1975, le Viêt-Nam du Nord au Viêt-Nam du Sud. Le pays se divisa en deux parties suite à l’accord de Genève qui fût signé après la Guerre d’Indochine. Le Nord du pays devient alors communiste. La guerre du Viêt-Nam débutera en 1957 suite à une guerre civile.
La première intervention américaine aura lieu en 1961 dans le but de renverser le communisme. L’expansion du communisme devait à tout prix être arrêtée ainsi que le communiste Hô-Chi-Minh.
Après quinze ans de combats, l’intervention des États-Unis prit fin suite à la signature des accords de paix de Paris en 1973.


 
 
 
En 1969, quatre jeunes hommes décidèrent d’organiser un festival de musique afin de faire la promotion d’un nouveau label. Une ferme fut « réservée » et le site était organisé pour d’accueillir 50 000 personnes.



Après neuf mois d’organisation, commencèrent enfin les préparatifs de ce festival légendaire au mois d’août. Ils n’étaient qu’une vingtaine à préparer le site. La scène n’était pas bien large, de plus, les organisateurs avaient oubliés de placer des guichets à l’entrée du festival. C’est alors qu’ils vont installer deux guichets à l’entrée du festival pensant naïvement que cela sera suffisant.

Le matin du 15 août 1969, premier jour du festival, les organisateurs se retrouvent confrontés à une immense et incroyable surprise : Le festival avait accueilli pendant la nuit du 14 et 15 août, plus de 200 000 personnes.
Une surprise qui eut comme première réaction, celle de la panique. Plus rien n’était sous contrôle, les routes étaient bloquées sur des dizaines de kilomètres, plus aucun ticket n’était disponible pour les nouveaux arrivants et vu le nombre de festivaliers, le nombre de facilités était insuffisant. Étant donné que les routes étaient bloquées, certains artistes prévus pour les premières performances n’étaient pas présents, certains alors, arrivèrent par hélicoptères.
Le premier qui monte sur scène est Richie Havens.
Richie avait une peur bleue de monter sur cette scène et de chanter devant cette immense foule. Mais il prit son courage à deux mains et ouvrit le festival avec une chanson intitulé : « Handsome Johnny ».

Une chanson racontant l’histoire de Johnny qui est soldat dans différentes guerres, qui s’étaient déroulées dans un passé plus ou moins récent, ainsi que dans celle qui se déroulait au moment même où il chantait. La deuxième chanson qu’il interprète est intitulée :
« Freedom » (Liberté). Une chanson qui va faire lever le public, un public sage et enthousiaste.

Suite à cette première performance, les organisateurs annoncèrent au public que le festival était devenu gratuit. Ils ajoutèrent que les festivaliers avaient donné au festival plus de valeur qu’il ne devait avoir au départ et donc, plus de valeur qu’un simple dollar.
Une chanson qui marquera ce festival sera celle de Country Joe McDonald :
« I Feel Like I’m Fixin’ to Die Rag ». Une chanson marquante et horriblement vraie.

Une grande performance eut lieu à la fin de la journée.
Joan Baez monta sur scène. Avant de commencer, elle parle au public de son mari (le mari de Joan Baez, David Harris, objecteur de conscience, fut envoyé en prison après avoir refusé d’aller à la guerre), elle les rassure en disant qu’il se porte bien ainsi qu'elle et son futur bébé, elle est enceinte.
Enfin, elle débute avec la chanson « Joe Hill », ensuite elle continue avec « Sweet Sir Ghalad » qui est en réalité une prière. On peut alors considérer l’interprétation de cette chanson comme une prière quotidienne. Joan Baez était seule à chanter, accompagnée de sa guitare sèche devant un public de près de 500 000 personnes dans un silence total.

Une entente générale s’était installée durant ces trois jours. Il n’y avait pratiquement aucun problème de violence, il n’y avait aucune arme et tout le monde s’entraidait.


Malencontreusement, tout le monde n’était pas enchanté par ce rassemblement contre la guerre. Plusieurs habitants, trouvaient cela scandaleux. Ils trouvaient que c’était honteux que les jeunes dormaient dans les champs et d’autres pensaient que manifester contre la guerre était anti-américain.

Enfin le dernier jour, lundi 18 août, la jeune Amérique eut droit à
l’hymne national américain interprété par Jimi Hendrix , The Star-Spangled Banner en solo ( version historique )
Celle-ci fut transformée avec des notes spécifiques de guitare qui imitaient des bruits de bombes
(on est en pleine  « guerre du Vietnam », dénoncée par le courant de « contre-culture » dont Woodstock aura été un des moments forts)[.

jeudi 25 novembre 2010

Le mouvement hippie

LE MOUVEMENT HIPPIE AUX ETATS-UNIS




Qu'est-ce qu'un hippie ?




Hippie ou hippy (n. et adj.) : mot anglo-americain, adepte d'un mouvement des années 1960 et 1970, né aux Etats-Unis, rejetant la société de consommation et prônant la non-violence, la liberté en tous domaines et le vie en communauté. (Larousse, 2009)

Avant tout, il faut faire une distinction entre beatnik, hippie et yippie. Par contre, l'appellation baba cool est un synonyme familier de hippie. Ces trois catégories de jeunes ont certaines ressemblances, comme leur aspect (cheveux longs) ainsi que leur rébellion envers la société. Pourtant, ces mouvements ont quelques différences.

Tout d'abord, les beatniks (ou beats) furent les premiers à contester la société matérialiste. Ils apparurent dès le début des années cinquante aux États-Unis, donc bien avant les hippies. Leur mouvement ne s'étendit pas jusqu'en Europe, mais inspira par la suite les hippies. Ces derniers prirent en fait exemple sur eux, à la différence près que les beatniks étaient plutôt intellectuels, individualistes et aventuriers. Ils venaient plutôt des couches défavorisées du peuple et militaient contre la pauvreté et la misère. De plus, ils ne croyaient absolument pas en Dieu.

À la base, les hippies étaient des gens qui désiraient avant tout profiter de la vie, par exemple en usant de drogues diverses ou en recherchant la spiritualité. Ils méprisaient le confort et les intellectuels. La majorité d'entre eux sortaient d'un milieu bourgeois, mais en avaient honte. Ils firent leur apparition au milieu des années soixante, connurent leur apogée un peu partout dans le monde après mai 68, et déclinèrent vers la fin des années 70, pour laisser la place aux punks, «new wave» et «teddy boys», qui étaient des mouvements assez violents de jeunes des années 80. Plus rien à voir avec «peace and love» ! ! !.

Les yippies, quant à eux, avaient presque les mêmes idées que leurs prédécesseurs beatniks, mais étaient plus engagés politiquement. Ils voulaient continuer le combat contre la société et ses injustices. Ils étaient pour la plupart des jeunes de gauche actifs, dressés contre la guerre au Vietnam et le racisme. On ne les trouvait qu'aux États-Unis , à la fin des années soixante. 


On peut dégager un ensemble de croyances partagées par les hippies, constituant l'ossature du «flower power» : la vie en communauté, la musique, les drogues, les philosophies orientales, une approche nouvelle des relations humaines fondée sur la paix et l'amour : «Peace and Love». Le rêve du mouvement hippie se résume à changer la société à travers un mode de vie marginal et alternatif. Les grands moments du mouvement hippie furent parfois politiques, mais le mouvement en resta le plus souvent aux aspects culturels, par exemple avec les festivals rock de Monterey du 16 au 18 juin 1967 et de Woodstock en août 1969, les films Easy Rider (de Denis Hopper, 1968) ou More (de Barbet Schroeder, 1969, avec la musique de Pink Floyd).



Qu'est ce que le mouvement hippie ?
  

 


Le mouvement hippie :Le mouvement hippie est un courant de contre-culture apparu dans les années 1960 aux États-Unis, avant de se diffuser dans le reste du monde occidental. Les hippies, issus en grande partie de la jeunesse nombreuse  de l'après-guerre, rejetaient les valeurs traditionnelles, le mode de vie de la génération de leurs parents et la société de consommation.




L'ouverture à d'autres cultures, un besoin d'émancipation et la recherche de nouvelles perceptions sensorielles, les amenèrent aux expressions artistiques du psychédélisme. Dans leurs communautés, ils tentèrent de réaliser leur aspiration à vivre librement, dans des rapports humains qu'ils voulaient plus authentiques.
En rupture avec les normes des générations précédentes, le mouvement a eu une influence culturelle majeure, en particulier dans le domaine musical. L'assimilation de nombreuses valeurs issues de ce courant a apporté une évolution des mœurs de la société dans son ensemble même si le mouvement lui-même a perdu progressivement son ampleur.


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La musique au sein du mouvement hippie:

La musique est considéré comme un élément capital, si ce n'est le plus important, pour les hippies. C'est afin de lui rendre hommage que plusieurs grands festivals ont été organisés : Monterey en 1967 mais surtout Woodstock en 1969, qui dura quatre jours du 15 au 18 août. Aujourd'hui encore il est considéré comme l'un des symboles du mouvement hippie car ce fut le plus grand rassemblement de hippies de tout les temps, pas moins de 450 000 personnes firent le déplacement et bien que le festival se passait aux États-Unis, beaucoup d'européens, surtout des français, se déplacèrent pour aller écouter et voir leurs idoles.
Les groupes appréciés par les hippies avaient surtout des influences rock et blues avec des paroles plutôt simplistes et sentimentales, à l'image des Beatles . Cette musique était néanmoins plus libre car elle voulait se démarquer de tout autre style de musique produit jusque içi, avec des morceaux plus long qui laisse une plus grande place à l'improvisation, qui abordent des thèmes aussi très différents comme l'utopie, le militantisme et la politique. Cette musique voulait surtout marquée sa différence, son envie, d'innover et d'échapper à toutes les contraintes.
Mais vers la fin des années 60, les artistes à la mode tels que Bob Dylan se mirent à chanter des textes beaucoup plus médiatique et engagés. Des textes qui mettaient en avant leur révolte, leur refus du racisme et de la répression ainsi la chanson « Blowin' in the wind » de Bob Dylan fut reprise par les 250 000 manifestants d'une marche militante sur Washington. La musique hippie reste tout de même en général très légère, à l'image de la chanson « San Francisco »« If you going to San Francisco, be sure to wear some flowers in your hair » qui signifie en français « Si tu viens à San Francisco soit sûr de porter quelques fleurs dans tes cheveux ». Certains artistes se permettaient même de passer des messages cachés dans leur chanson comme les Beatles qui ont écrit une chanson qui s'appelle « Lucy in the Sky with Diamonds », soit LSD. de Scott McKenzie où il écrit :

Les hippies ont révélés de grands talents mais ont aussi fait exploser de jeunes artistes montant : Jimi Hendrix, considéré comme un héros noir, le Dieu de la guitare et la génération d'aujourd'hui joue ou essaye de jouer ses morceaux. Il fut suivit de Janis Joplin, Franck Zappa, The Doors, The Who, Les Rolling Stones ou encore Pink Floyd qui sont encore aujourd'hui des groupes mondialement connu. Les stars de l'époque furent représentés comme des artistes révoltés, qui privilégiés leurs talents et leur musique au détriment de leur vie comme Jimi Hendrix, Janis Joplin ou Jim Morrisson tous mort à l'apogée de leur carrière, leur mort est due à l'abus de drogues et d'alcools, ils consommés ces substances afin d'augmenter leur créativité. Mais il reste et resteront des mythes, des légendes.
La musique représente bien le mouvement par sa diversité, sa volonté de s'ouvrir aux autres et aux différentes cultures et surtout par son dépassement des règles.


Aussi, nous aborderons les facteurs de la naissance de ce courant, leur philosophie marginale et surtout nous verrons l'impact du mouvement sur la société.